13 Nov Les crimes de guerre azerbaïdjanais et turcs ne devraient pas rester impunis.
Les appels internationaux à tenir l’Azerbaïdjan et la Turquie responsables de leurs crimes de guerre se font de plus en plus pressants.
As reported in MODERN DIPLOMACY on November 13, 2020 by Uzay Bulut
Selon l’article du 13 novembre 2020 de Uzay Bulut dans le journal MODERN DIPLOMACY.
La guerre contre la République arménienne d’Artsakh (Haut-Karabagh) déclenchée par l’Azerbaïdjan et la Turquie a été arrêtée par un accord de cessez-le-feu négocié par la Russie et imposé à l’Arménie.
Lors de leur bombardement aveugle de l’Artsakh, les agresseurs – l’Azerbaïdjan et la Turquie, soutenus par les forces djihadistes syriennes – ont commis de nombreux crimes de guerre contre les Arméniens. Ils ont blessé des journalistes et assassiné des civils. Ils ont brûlé des villages, des forêts et des églises. Ils ont torturé et décapité des Arméniens et exécuté des prisonniers.
En outre, les forces azerbaïdjanaises ont utilisé des munitions à fragmentation illégales et du phosphore blanc contre l’Artsakh. « L’Azerbaïdjan continue d’utiliser des armes à fragmentation largement interdites dans des zones résidentielles du Haut-Karabagh », indique un rapport de Human Rights Watch (HRW) du 23 octobre.
La croyance fausse et obsessionnelle que l’Artsakh appartient à l’Azerbaïdjan a conduit à une élimination ethnique des Arméniens locaux sur leur terre. Les attaques contre les Arméniens dans le Caucase du Sud et en Europe montrent que cette guerre ne concerne pas seulement le territoire. Il s’agit des aspirations pan-turques et expansionnistes de la Turquie et de l’Azerbaïdjan et de leur haine génocidaire et implacable des Arméniens.
Lisez l’article complet sur MODERN DIPLOMACY pour en savoir plus sur la perspective historique de l’Arzagh arménien et les difficultés auxquelles les Arméniens sont confrontés aujourd’hui dans leur quête de justice.